Disparition
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«Ton cinéma est la saturation de signes magnifiques qui baignent dans la lumière de leur manque d’explication.» Cette phrase de Manoel de Oliveira, Jean-Luc Godard, dont on a appris la mort mardi 13 septembre, l’a reprise par deux fois, dans For Ever Mozart et Histoire(s) du cinéma. On pourrait s’arrêter là, considérer devant l’énormité de l’œuvre qu’elle ne peut s’évoquer, se résumer, se réduire, se vulgariser sans ridicule ou bévue. On pourrait aussi procéder par copié-collé de textes, d’images et se badigeonner le visage de bleu. «Philosophe, scientifique, prédicateur, éducateur, journaliste, mais tout cela en amateur, il est le dernier (à ce jour) à avoir été le témoin (cohérent dans ses dépositions) et la conscience (morale) de ce qui arrive au cinéma», écrit …
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Divertissement
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