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Binic Folk Blues : une « résurrection » du festival le plus rock des Côtes-d'Armor - Le Télégramme

« C’est une résurrection, la renaissance du Binic Folk Blues Festival ! » On ne peut pas faire meilleur bilan du festival rock de Binic pour Ludovic Lorre, son programmateur et directeur artistique. L’édition 2023, qui aura duré du 28 au 30 juillet, a vu l’événement faire son grand retour dans le centre de Binic, et attirer énormément de festivaliers. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : « 12 000 personnes le vendredi 28 juillet, 18 000 le lendemain ! », annonce Ludovic Lorre. « Dès le vendredi, je savais que ça allait être incroyable », glisse pour sa part Sébastien Blanchais, patron du label rennais Beast Records et lui aussi aux manettes du « BFBF ». « C’était un bourbier sur les routes avec les retours et départs en vacances ; et pourtant on a vu des gens se débrouiller pour arriver à l’heure avec les bouchons, c’est fou ! »

Le boys band Top Left Club aura décidément laissé une impression mémorable aux festivaliers qui ne les connaissaient pas. Pour preuve : ils ont ramené le beau temps sur la scène Banche, ce samedi 29 juillet !
Le boys band Top Left Club aura décidément laissé une impression mémorable aux festivaliers qui ne les connaissaient pas. Pour preuve : ils ont ramené le beau temps sur la scène Banche, ce samedi 29 juillet ! (Le Télégramme/Quentin-Mathéo Pihour)

Côté artistique, les deux têtes pensantes (sur trois, avec le manager Buzz) du Binic Folk Blues Festival sont tout aussi satisfaites. Et valident cette « kermesse du rock » qui célèbres les quinze ans du festival comme les 20 ans de Beast Records. « On a de la place pour l’émotion, la sincérité, l’honnêteté », confie Sébastien Blanchais. « Et c’est très cool de voir autant d’artistes étrangers comme Français s’entendre ; d’ailleurs les Bretons sont plus proches des Australiens que ne le sont les Londoniens (rires) ! » Côté coups de cœur, la balance penche vers Long Hours, « l’outsider du festival » selon Ludovic Lorre. Même si Cash Savage & The Last Drinks, qui a proposé une prestation différente chaque jour, mérite tout autant sa place.

Assurer un show à la voix, à la guitare mais aussi aux synthés : c’est la vie d’artiste qu’a choisi de mener Josh Menashe, de Frankie & the Witch Fingers dans ses concerts !
Assurer un show à la voix, à la guitare mais aussi aux synthés : c’est la vie d’artiste qu’a choisi de mener Josh Menashe, de Frankie & the Witch Fingers dans ses concerts ! (Le Télégramme/Quentin-Mathéo Pihour)

« On ressent une adrénaline très positive ! »

« Il faut également saluer le travail des bénévoles. Les années précédentes, on en avait 500 : cette année on en a environ 200 », souligne Ludovic Lorre. « Au bout de trois jours, on a on a forcément de la fatigue mais on ressent une adrénaline très positive ! », confie pour sa part le patron de Beast Records. Pour les deux hommes, le succès du Binic Folk Blues tient autant à son ancrage binicais qu’à l’investissement de ses bénévoles. « D’autant qu’ils viennent tous avec des histoires incroyables, qu’ils soient ici pour la première fois ou soient présents depuis le départ ! » Et les organisateurs ont conclu en annonçant que le modèle du festival pour 2023 pourrait bien être pérennisé. « De toute façon, c’est un secret de Polichinelle : on pense déjà à 2024 ! »

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