CRITIQUE - Situé dans un futur proche, le film d’Alex Garland décrit un conflit à travers les médias. Totalement inoffensif et souvent ennuyeux.
Un panache de fumée noire s’élève de la skyline de New York. La Grosse Pomme est une ville en guerre. Le reste des États-Unis est aussi à feu et à sang. Des voitures cramées jonchent les routes. Un hélicoptère est crashé sur le parking d’un centre commercial. Des hommes en armes tiennent des barrages et des check-points. Des bombes explosent au coin des rues et réduisent les civils en charpie. Alex Garland transpose sur le sol américain un imaginaire lointain dans la réalité (guerres au Moyen-Orient et en Ukraine) et familier à l’écran (La Guerre des mondes, The Walking Dead ).
Civil War se situe dans un futur proche. Il résonne aussi avec un passé ancien, une guerre civile ayant déjà fracturé l’Amérique dans les années 1860 - en français, on l’appelle la guerre de Sécession. Mais on ne saura pas grand-chose sur les racines historiques et idéologiques de ce nouvel affrontement. On aperçoit à peine le président, reclus et traqué. Il a un faux air de Donald Trump. Il est dit qu’il a démantelé…
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Divertissement
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