Netflix, ce n’est pas que des créations originales et des séries. Classiques ou plus récents, ces sept films sortiront du catalogue de la plateforme à la fin du mois. Si vous ne les avez jamais vus, pas de panique, vous avez encore une chance de les découvrir.
Publié le 06 mars 2024 à 15h17
Netflix propose pas moins de cinq mille six cents contenus, toutes catégories confondues. Chaque mois, de nouveaux titres arrivent mais, fatalement, d’autres sortent de la plateforme. Dans cette jungle cinématographique qui va et qui vient, Télérama sélectionne tous les mois des bons films à voir ou à revoir de toute urgence sur son canapé.
Coke en stock : “Scarface”
De Palma se paie le remake du classique de Hawks, en remplaçant le whisky prohibé par la coke cubaine. Al Pacino est Tony Montana, caïd instinctif dépassé par son aura. Un film culte un peu roublard, souvent copié, rarement dépassé. Lire la critique
“Taxi driver : “Collateral”
Un chauffeur de taxi (Jamie Foxx) doit affronter un génie du mal (Tom Cruise) qui l’a pris en otage. Une folle nuit de violence, de chantage, de comédie, aussi, à travers L.A. Par Michael Mann, l’un des plus brillants cinéastes américains au tournant du siècle. Lire la critique
Toute première fois, Tou-toute première fois : “40 ans, toujours puceau”
La comédie teen-ager appliquée aux quadras avec gags efficaces et fluides corporels divers. Interprétation adéquate du comique Carell, soupçon de sujet sérieux (la peur du sexe chez le mâle pas du tout dominant). Un American Pie préandropause. Lire la critique
Permis de rire : “Grimsby, agent trop spécial”
Un glandeur débonnaire doit épauler son frère, redoutable agent secret. Un sympathique pastiche de film d’espionnage, taillé pour Sacha Baron Cohen. On rit à gorge déployée devant cet acharnement à transgresser, régressif et libérateur. Lire la critique
Jamet plus Jamet : “Guy”
Émouvant et désopilant faux documentaire sur une vedette de variétés imaginaire des années 1970-1980, Guy Jamet, interprété avec génie par un Alex Lutz vieilli et parfaitement crédible. Lire la critique
Schwarzy rafle la mise en abyme : “Last Action Hero”
Un ticket de ciné magique et Danny, 10 ans, pénètre dans un film de son héros favori et invincible, Jack Slater. Mais les méchants du film s’emparent du ticket… Un scénario malin et un Schwarzy qui se parodie avec délectation, c’est tout bon ! Lire la critique
Emprise électrique : “ Mon roi”
La passion destructrice d’une femme pour un bad boy sexy. Maïwenn a toujours autant de talent pour diriger ses acteurs. Son film est foncièrement honnête et se refuse à juger. Du cinéma-vérité saisissant. Lire la critique
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