ENTRETIEN - À 45 ans, la réalisatrice d’Anatomie d’une chute est devenue la troisième femme à décrocher la palme d’or à Cannes. Entretien avec une passionaria du cinéma.
Quand elle arrive dans les bureaux du Pacte, sa société de distribution, Justine Triet arbore un grand sourire sous une casquette bleu jean. Un canapé en cuir, des petits coussins rouges et beiges l’attendent… et surtout un ventilateur prêt à rafraîchir l’atmosphère de cette étouffante après-midi d’été parisien. Pour son quatrième film, la réalisatrice d’Anatomie d’une chute a reçu la palme d’or en mai dernier au 76e Festival de Cannes. Avec un franc-parler qui force le respect, une grande disponibilité d’esprit, ponctuée par une pointe d’humour qui ne manque pas de charme, Justine Triet se jette dans l’exercice de l’interview comme on se lancerait dans une plaidoirie de la défense. Elle accepte aussi de revenir sur la polémique déclenchée par son discours cannois, au moment de recevoir sa prestigieuse distinction.
LE FIGARO. - Dans Anatomie d’une chute, le son et la musique sont importants. Comment avez-vous composé l’ambiance musicale?
Justine TRIET. - La musique a été un sujet très important…
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